des chiffres...

21 novembre 2011

Un pot à épices fait sur mesure par la maison réinventée

Des coussins confectionnés par notre Cricri

J'ai choisi le N°1 et le N° 2...

Dans mes dernières lectures...

1942. Jacques, quatorze ans, est soudainement et violemment confronté à l'horreur de la guerre : sa mère est assassinée sous ses yeux par les nazis, qui ont fait irruption à la ferme d'où son père commande un réseau de résistants. Ceux-ci sauvent de justesse le reste de la famille en abattant leurs agresseurs. Mais le jeune garçon, sa soeur, Bernadette, et leur père doivent fuir, car le frère de l'un des nazis rumine sa vengeance. Il parviendra à tuer le père, et contraindra les deux enfants à tout quitter pour échapper à son inlassable traque... Mais dans leur évasion, les deux orphelins seront séparés, et Jacques ne s'en remettra jamais. Comment vivre, en effet, quand on n'a pas pu tenir la promesse de veiller sur sa petite soeur ?

Une période de l'histoire que j'affectionne particulièrement.... Malgré la violence de cette guerre, une histoire captivante !

Camille, recueillie par un modeste couple de fermiers, se révèle dotée d'un véritable don pour la cuisine. Son rêve secret de devenir pâtissière se heurte au destin que lui ont réservé ses parents adoptifs : une vie ennuyeuse auprès d'un mari bien terne. Cependant, Camille parvient à se faire embaucher dans le très chic salon de thé de Martial Osmont. Le charme de son bel employeur, devenu résistant, ne la laissera pas indifférente. Le chemin qu'elle emprunte alors la mènera au mystère de ses origines... Une orpheline surmonte tous les obstacles pour accomplir son rêve.

Après Nina et ses soeurs, le secret d'Emma, je me devais de lire le dernier roman de notre "normande" Karine Lebert. De 1930 à 1950, Karine nous entraîne dans notre région avec encore une bien belle histoire !

1936. En plein Front populaire, le célèbre commissaire Barnabé replonge dans l'horreur du passé. Son ennemi intime continue de vouloir sa perte, dans un délire meurtrier où se mêlent la souffrance, l'amour et la haine. De cette ambiguïté naît, en grande partie, l'originalité de ce polar palpitant.

Roman trés noir, comme la plupart des personnages.Mais je suis allée jusqu'au bout du livre! Je ne connaissais pas cette auteure et malgré la dureté du récit, je pense lire d'autres de ses livres.

Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels. Au coeur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux " nymphéas noirs". Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps.

Michel Bussi, professeur à l'université de Rouen est l'auteur de plusieurs roman. J'ai découvert un étonnant roman policier dont chaque personnage est une énigme. 

Je me suis fait pas mal absente,

ma maladie ne me laisse pas beaucoup de répit

et l'entreprise où je travaille va probablement fermer ses portes...

Posté par Anne MdC à 12:57 - Commentaires […] - Permalien [#]